De Guillaume De Machaut À Guillaume Dufay

De Guillaume de Machaut à Guillaume Dufay, le programme parcourt la chanson médiévale, du virelai monodique dansant à la ballade polyphonique de l’art subtilior. Ce duo inédit, à deux voix, à quatre mains et dans une apparente simplicité, offre une réelle virtuosité ! Ce sont deux voix et quatre mains, celles d’un père et d’un fils, tous deux grands spécialistes de la musique et des instruments médiévaux. Leur album nous transporte, par le biais des chansons, aux derniers siècles du Moyen Âge (XIVe et XVe siècles). Ces temps, marqués par des événements difficiles (guerre de Cent ans, grande peste), voient pourtant les arts s’y développer dans l’entourage des dignitaires religieux ou politiques. Au cours de cette période les poèmes chantés (virelais, ballades, rondeaux) héritiers des monodies sobres de l’art des trouvères vont évoluer progressivement pour gagner en raffinement et en complexité rythmique et polyphonique. Camille et Emmanuel Bonnardot interprètent ce répertoire en s’accompagnant sur des instruments médiévaux (vièles à archet, rebec, citole, guiterne, cornet, etc...) et nous font découvrir en particulier les talents des deux grands compositeurs français qui marquent cette période : Guillaume de Machaut au XIVe siècle et Guillaume Dufay au XVe siècle. Des œuvres profanes qui, dans la logique de l’esprit « courtois », parlent essentiellement d’amour et chantent la beauté de la dame aimée !
De Guillaume de Machaut à Guillaume Dufay, le programme parcourt la chanson médiévale, du virelai monodique dansant à la ballade polyphonique de l'art subtilior.
Ce duo inédit, à deux voix, à quatre mains et dans une apparente simplicité, offre une réelle virtuosité !
Ce sont deux voix et quatre mains, celles d'un père et d'un fils, tous deux grands spécialistes de la musique et des instruments médiévaux. Leur album nous transporte, par le biais des chansons, aux derniers siècles du Moyen Âge (XIVe et XVe siècles). Ces temps, marqués par des événements difficiles (guerre de Cent ans, grande peste), voient pourtant les arts s'y développer dans l'entourage des dignitaires religieux ou politiques. Au cours de cette période les poèmes chantés (virelais, ballades, rondeaux) héritiers des monodies sobres de l'art des trouvères vont évoluer progressivement pour gagner en raffinement et en complexité rythmique et polyphonique. Camille et Emmanuel Bonnardot interprètent ce répertoire en s'accompagnant sur des instruments médiévaux (vièles à archet, rebec, citole, guiterne, cornet, etc...) et nous font découvrir en particulier les talents des deux grands compositeurs français qui marquent cette période : Guillaume de Machaut au XIVe siècle et Guillaume Dufay au XVe siècle. Des oeuvres profanes qui, dans la logique de l'esprit « courtois », parlent essentiellement d'amour et chantent la beauté de la dame aimée !

#	Nom	Durée	Version
1	J aim sans penser laidure
2	Mors sui se je ne vous voy
3	Je ne cuit pas qu oncques à creature
4	Dame a vous sans retollir
5	De bonte de valour
6	Ce qui soustient moy m onneur et ma vie
7	Dou mal qui m a longuement
8	Amours cent mille mercyz
9	Es liegt ein SchloB in Osterreich
10	Mit ganczem Willen wunsch ich dir
11	Puisque je sui fumeux
12	Fumeux fume par fumee
13	Pizzocara
14	Quel fronte signorillo
15	Je veuil chanter de cuer joyeux
16	Je veuil chanter de cuer joyeux
17	La Harpe de melodie
18	Ce jour de l an voudray joye mener
19	Se la belle n a le voloir
20	J atendray tant qu il vous playra
21	J atendray tant qu il vous playra
22	Puisque vous estez campieur